Statues
Près des fonts baptismaux, la statue Notre Dame la blanche date du XIV ième siècle. Sur un pilier à proximité, nous observons la statue de Sainte Catherine d’Alexandrie en terre cuite polychromée du XVIII ième siècle. Cette sainte a vécu en Egypte au IV ième siècle, soumise au supplice de la roue, elle fut finalement décapitée. photos
A droite de la grande porte, à côté du confessionnal, vous voyez la statue du curé d’Ars, Saint Jean-Marie Vianney datant de 1927 (1786-1859, prêtre, confesseur, saint patron des prêtres).
Dans l’embrasure de la porte latérale sud aujourd’hui condamnée, la statue du Sacré Cœur de Jésus date de 1892, elle avait initialement été placée derrière le maitre autel. Retirée de cet emplacement en 1944, elle est à son emplacement actuel depuis 2021.
Au milieu de la nef côté nord, la statue de Saint Jean Baptiste de 1m40 datée du 16 -ème siècle. Sortie elle aussi des orties en même temps que la cuve baptismale. Confiée au sculpteur Schanosky en 1893 pour la rénovation. Il tient l’agneau symbolique.
Dans le transept sud, on trouve une statue de Sainte Thérèse de Lisieux de 1925 (1873-1897, carmélite, docteur de l’Eglise). Statue offerte par les paroissiens bénie le 26 juillet 1925.
La statue de St Antoine de Padoue, date de 1897. St Antoine est né en 1195 à Lisbonne , Chanoine augustin, il devient franciscain , prédicateur en Afrique, en France puis en Italie. Il meurt en 1261.
Dans le collatéral nord, est présente une statue de Sainte Jeanne d’arc de 1919. Elle fut érigée suite à un voeux en rapport de la guerre de 1914-18 par Mr Pouffer de Dijon en 1919.
On trouve la statue de Saint Vincent de Saragosse né vers 304 en Espagne diacre prédicateur et martyr, saint patron des vignerons.
Sur le pilier nord, le Christ sans bras provient d’un calvaire de plein air près de Genlis tombé abandonné à la révolution. Il a été donné par la famille Ponsot-Livera de Morey-Saint-Denis en 1959. Ce que l’on voit est une copie de Jean Noel Grandchamp (natif de Gevrey) suite à un vol en 1973 de Gevrey-Chambertin.
Sur l’autel du transept nord qui date de 1893 la vierge est une copie de la vierge d’Olivet oeuvre de Michel Colombre, dont l’original datant de 1525 est au musée du Louvre. Elle fut commandée pour orner le chateau d’Olivet (Loiret) 1525.
L’autel avait été conçu pour recevoir Notre Dame des Victoires.
Saint Aignan à gauche; Saint Claude à droite.
Statues en pierre de l’école du sculpteur dijonnais Dubois. Probablement offertes par Claude Joubert de Chambertin.